Ma pratique artistique explore l’intangible : la trace, le langage, la mémoire et le passage du temps, à travers des médiums variés : gravure, broderie, impression, céramique, édition. Chaque oeuvre est une recherche matérielle et sensible, où le geste — qu'il soit sculpté, brodé, imprimé ou tamponné — joue un rôle important.
J’interroge la façon dont les objets, les textures et les empreintes racontent des histoires, incarnent des émotions ou capturent l’éphémère. Dans Pénélope, chaque point de broderie matérialise une attente, un cycle. Gestes archive des mouvements fugaces par le gaufrage. Botanical Colors est une collection d’empreintes - témoins végétaux et silencieux d’un temps suspendu.
Le choix des matériaux est essentiel : fils, papiers, céramique, plantes, objets récupérés… Autant d’éléments qui portent en eux une mémoire et orientent le processus de création. J’intègre souvent des dimensions participatives ou éphémères, interrogeant la transmission et l’interaction dans l’espace public.
︎CV ︎Portfolio 2025
P R O J E T S & S E R I E S
︎『 SATURATIONS 』
︎『 NUAGES 』
︎『 PENELOPE 』
︎『 GESTES 』
︎『 BOTANICAL COLORS 』
︎『 TELL YOU A STORY 』
︎『 WHITE NOISE 』
︎『 ZINES & BOOKS 』
︎POSTCARDS TO LET GO
Comment lâcher prise quand on s’accroche beaucoup trop ? J’ai créé des images en collage pour incarner le sentiment de tristesse, et en abandonnant chacune d’entre elles dans des espaces publics, j’ai mis en scène physiquement le mouvement du «lâcher prise».
~~
ENG | How to let go when you hold on way too much? I created collage images to embody the feeling of sadness, and by abandoning each of them in public spaces I physically enacted the movement of “letting go”.
Comment lâcher prise quand on s’accroche beaucoup trop ? J’ai créé des images en collage pour incarner le sentiment de tristesse, et en abandonnant chacune d’entre elles dans des espaces publics, j’ai mis en scène physiquement le mouvement du «lâcher prise».
~~
ENG | How to let go when you hold on way too much? I created collage images to embody the feeling of sadness, and by abandoning each of them in public spaces I physically enacted the movement of “letting go”.





